Le pire ennemi, c'est soi-même - Charles de Leusse
Si vos réponses à ces 7 questions clefs ne vous paraissent pas satisfaisantes, quelles peurs, quelle angoisse, quelle timidité excessive vous en empêche ?
Vous trouverez ci après des pistes de réflexion pour améliorer votre relation à vous et (re)devenir votre meilleur ami.
Si vous souhaitez aller plus loin, vous pouvez bien sûr m’appeler 06 09 451 454, ou m’écrire, ou sans plus attendre, prendre RV avec moi !
Parvenir à une relation apaisée avec vous commence par faire le point sur votre regard et vos croyances.
Quel regard portez-vous sur vous, votre vie, votre passé, ce que vous pensez pouvoir et devoir faire ?
Chacun d’entre nous se construit au fil de sa vie ce que la PNL (programmation neuro-linguistique) appelle « système de croyances », c’est-à-dire la construction mentale qui constitue le filtre à travers lequel nous voyons le monde.
Culture, milieu, éducation, religion, expériences nous inculquent des préceptes que nous prenons pour des vérités absolues et deviennent nos certitudes, tant que nous ne les remettons pas en question.
Croyances = vision du monde, de la vie, des autres, de nous, de nos possibles et de nos interdits.
Autrement dit, les « lunettes » que nous portons face à la vie.
Elles ont donc ont une influence considérable et souvent insoupçonnée sur notre façon d’être et de vivre :
Être en paix avec soi ne peut se faire qu’en acceptant de faire évoluer son regard et ses croyances
Vous pouvez, dans un 1° temps , lire ce qui suit, puis, si vous souhaitez approfondir et expérimenter en étant accompagné – ce qui permet toujours d’aller beaucoup plus vite – prendre RV
Nos croyances sont aussi le nœud gordien de notre développement personnel.
Positives et constructives, elles nous aident : nous nous auto poussons alors à développer nos capacités et notre plaisir d’avancer.
Négatives voire destructives, elles nous limitent : nous restons enkystés dans un fatalisme, parfois solution de facilité, souvent fatiguant, notamment quand nous nous auto sabotons (inconsciemment) pour les valider.
Les croyances limitantes ressemblent étrangement à des préjugés (= littéralement, juger avant !) sur les autres : “les … sont …“ remplissez les cases, les hommes, les femmes, les blancs, les noirs, les jeunes, les vieux, les salariés, les indépendants, etc …
Mais aussi sur soi : “Je n’y arriverais jamais“ ; “Je suis trop nul(le) pour …“ ; “Si j’arrête de fumer, je vais grossir“ ; “Il faut souffrir pour être belle“ ; “Je serais heureux(se) seulement si …“ ; “Changer est difficile“ ; “Je dois être parfait(e)/fort(e)/performant(e) pour être aimé(e)“ ; et autres joyeusetés qui ont pour grand intérêt de nous plomber …
Et vous, que croyez-vous de vous, de ce qu’il vous est possible, permis de faire ou pas ?
Est-ce que ce que vous croyez vous aide à avancer, à vous améliorer, à aller au bout de vos projets, à vivre agréablement ?
Ou à l’inverse est-ce de vieilles interdictions probablement périmées vous limitent dans vos actions, votre relation à vous, aux autres et à votre bonheur ?
Nos croyances génèrent nos peurs.
Peur de ne pas être apprécié, aimé, peur d’échouer, de ne pas être à la hauteur (mais de quoi ?), peur d’être jugé, d’être rejeté, …
La difficulté est que si les peurs sont faciles à repérer puisqu’on les ressent, c’est moins évident pour les croyances, tant qu’elles sont inconscientes …
Jusqu’à ce que nous en prenions conscience.
Pour y parvenir, le 1° pas est de les identifier en s’observant (avec bienveillance !) et en constatant nos auto sabotages.
Puis se demander si … on a envie de continuer à se trimballer des boulets pareils !
Agir dessus pour les faire évoluer positivement peut se faire rationnellement donc consciemment, en les remettant en question à la lumière de nos expériences et compétences d’aujourd’hui.
La première bonne question peut tout simplement être : Est-ce encore vrai ?
Constater qu’on se nuit à soi même et décider que ça suffit peut être un déclencheur suffisant vers le changement.
Si vous estimez avoir besoin d’aller plus loin, travailler sur les vraies questions d’une part, sur la symbolique et avec l’inconscient d’autre part, avec les apports de la PNL ou de l’hypnose vous permettra de le faire avec beaucoup de plaisir et de résultats
Vous pouvez expérimenter ces outils dans l’atelier que j’ai crée pour vous : Libérez-vous de vos croyances plombantes !
Si vous l’avez raté, vous pouvez aussi être accompagné individuellement. L’hypnose est souveraine pour déactiver les vieux programmes d’autrefois. Alors, prenez RV !
Ce sont, une fois encore, nos peurs qui nous incitent à vouloir tout maitriser, tout contrôler. Une petite voix insidieuse qui infiltre l’inquiétude : que se passerait-t-il (sous entendu d’intolérable) si je n’avais pas la maitrise, si je perdais le contrôle ?
La vraie question est bien là : qu’est-ce qui se passerait VRAIMENT ?
Dans la plupart des cas, rien d’aussi dramatiquement catastrophique que nous l’imaginons …
Et pourtant, quelle énergie dépensée …
Qu’est-ce qui justifie de nous mettre à ce point la pression ?
Pourquoi être à ce point dans un rapport de force avec nous-même ?
Alors lâcher prise ? Vaste programme !
Mais sur quoi ?
Que tenons-nous si serré ? Vie professionnelle, personnelle, amours, amitiés, famille, … qu’est-ce qui nous oblige vraiment à maintenir la barre si haut ?
Comment se fait-il qu’on en soit encore à s’infliger des contraintes trop pesantes et décourageantes plutôt qu’à construire, avancer et profiter ! ?
L’éclairage de l’AT (analyse transactionnelle) et des drivers (ou petites voix ou messages contraignants) met en lumière là aussi le pouvoir pernicieux des croyances ancrées depuis notre âge tendre. Période de vie où nous sommes intrinsèquement tellement réceptifs que nous engrammons sans avoir encore la capacité à les remettre en question, des injonctions parfois terribles qui vont nous pousser à nous y conformer parce que nous croyons que c’est la condition sine qua non pour obtenir … l’amour.
Réussir à lâcher prise commence par prendre conscience de ce que nous nous infligeons à nous-même dans le fol espoir que çà va payer puisque çà nous apparaît comme le moyen d’être respecté(e)/estimé(e)/ aimé(e) …
La 1° étape est identique à celles des peurs : identifier, prendre conscience de nos petites voix, s’observer (toujours avec bienveillance !) et vérifier si elles contribuent à notre liberté et à nos vrais choix ou si elles nous enferment dans des comportements subis plutôt que choisis.
Si la balance penche plutôt du mauvais côté (à vous de déterminer lequel 😉 ), une fois encore, se demander si … on a envie de continuer à se trimballer des boulets pareils !
Puis, pour arriver à se libérer de ces chaines bien vaines, donc réussir à lâcher prise sur l’inutile, travailler sur la valeur intrinsèque, inconditionnelle qu’on souhaite désormais s’accorder et se poser quelques questions pertinentes (utiles et constructives plutôt que prise de tête 🙂 )
Si vous avez rater mon atelier spécial Lâcher prise, vous pouvez vous « rattraper » avec une séance rien que pour vous ! Prenez RV ^_^
[blockquote cite= »André Gide » variation= »yellow »]Décider c’est choisir, choisir c’est renoncer[/blockquote]
Oui, non, peut-être …
Tergiversations et hésitations sont les 2 mamelles de la perfide procrastination.
« En suivant le chemin qui s’appelle plus tard, nous arrivons à la place qui s’appelle jamais » disait Sénèque
Pour beaucoup d’entre nous, décider n’est pas chose aisée. Parce qu’aller dans une direction implique d’abandonner la possibilité d’une autre, donc d’en perdre les avantages. Parce qu’on ne peut pas tout avoir à la fois et qu’on peut en arriver à penser que mieux vaut rien que pas assez bien.
Influence là encore des croyances, mais aussi du regard des autres.
Et vous, prenez-vous vos décisions vraiment par vous même et pour vous ?
Savez-vous faire vos choix en vraie liberté ?
Beaucoup d’entre nous croient encore que nous prenons nos décisions uniquement avec la raison, les éléments rationnels d’une option et de l’autre, donc le conscient.
Mais que ce soit pour un choix de vie (mariage ou célibat, déménager ou rester, changer de job ou non, enfant ou pas) ou des questions existentielles comme la couleur d’un papier peint ou d’une paire de Lauboutin, c’est, pour ça comme pour tant d’autres choses, notre inconscient qui est aux commandes.
L’idée : savoir l’écouter et l’accepter. Donc de faire confiance à son inconscient …
L’idéal : concilier les critères conscients et indicateurs inconscients
Commencez par rassurer votre conscient : clarifier vos critères rationnels à vous sur papier, pour déterminer le poids des avantages et des inconvénients de chaque option.
Demandez vous explicitement s’il s’agit vraiment des vôtres ou de ceux des autres.
Si ça ne vous détermine pas encore assez, il est temps de faire appel à cette autre partie de vous : votre inconscient.
Si vous vous imaginez dans chaque option, quel est votre ressenti ? Qu’est-ce qui vous semble le plus plaisant ? Acceptez d’écouter ce que vous dit votre corps : vous vous sentez bien ? C’est la bonne !
Vous pouvez parfaitement le faire par vous même, en vous posant tranquillement chez vous, vous centrant sur vous. Écrivez puis ressentez.
Et … décidez !
Si vous souhaitez vous approprier une méthode complète de décision, vous pouvez prendre RV pour une séance individuelle ! Selon votre besoin, je vous recommanderais un processus exclusif ©Esprit du Bien Etre pour vous aider concrètement à prendre vos décisions.
« Etre présent au présent » belle pensée, mais pas toujours évidente à appliquer
D’autant que beaucoup ont encore la croyance que le passé détermine ce que nous sommes aujourd’hui et conditionne notre vie et nos choix à venir
Remords, regrets, rancœur, culpabilité, amertume, … autant de concepts qui peuvent devenir des prisons où le présent perd sa place.
Comment avancer quand on a le regard focalisé dans le rétroviseur ? Comment écrire un nouveau chapitre si on n’a pas tourné la page précédente ?
Le tri sélectif que notre mémoire fait sur ce que nous avons vécu est bien sûr généré par l’intensité des émotions que nous avons éprouvées mais aussi par la permission que nous décidons de nous accorder à être heureux. Ou pas.
Nous avons tous traversé des épreuves, certains d’entre nous indéniablement plus lourdes que d’autres.
Mais nous pouvons décider de changer le regard que nous leur portons désormais. Que vaut-il mieux pour nous : persister à voir les difficultés ou notre capacité à les avoir surmontées ?
« Il n’est jamais trop tard pour changer » et tout commence par l’intention de le faire.
Et la permission d’aller bien désormais.
Commencez par vérifier l’influence que vous laissez encore aujourd’hui à votre passé.
Est-ce un choix subi ou consenti ? Est-ce que ça vous convient ?
Si vous vous allégiez, qu’est-ce que ça peut changer dans votre vie et votre relation à vous ?
Comment serait votre vie si vous aussi vous décidiez d’aller vers la résilience ?
Si vous réfléchissez bien, à quoi voulez-vous vraiment consacrer votre énergie ?
Autant de questions que vous pouvez vous poser en tête à tête avec votre meilleur vous 🙂
Si vous souhaitez aller plus loin en travaillant avec la symbolique et avec votre inconscient, pour arriver à la paix intérieure que vous méritez et sans avoir à tout re décortiquer dans les détails je vous y accompagne bien volontiers ! Prenez RV, je serais très heureuse de vous aider à vous libérer.
Le plus grand secret du bonheur, c’est d’être bien avec soi - Fontenelle
Je vous souhaite de tout coeur de trouver tout ce qui vous permettra désormais de faire la paix avec vous et d’être bien avec vous !